Acné & Endométriose – Quand l’inflammation ne vient pas que de la peau

Acné & Endométriose – Quand l’inflammation ne vient pas que de la peau

Chaque mois, son ventre la pliait en deux. Comme une lame invisible, silencieuse.
Mais ce n’était pas tout : sur son visage aussi, quelque chose criait.
Des boutons douloureux, rouges, profonds. Une peau qui semblait réagir à l’intérieur.
Elle pensait que c’était deux problèmes séparés.
Mais si c’était lié ?

Endométriose : une maladie invisible… et inflammatoire

L’endométriose touche environ 1 femme sur 10. C’est une maladie dans laquelle des cellules semblables à celles de l’endomètre (la muqueuse utérine) migrent hors de l’utérus. Elles provoquent des douleurs chroniques, notamment pendant les règles, mais aussi de la fatigue, des troubles digestifs… et parfois de l’acné.

Ce qu’on oublie souvent ?
L’endométriose est une maladie inflammatoire et hormonodépendante.
Et c’est exactement ce que redoute notre peau.

Quel lien entre endométriose et acné ?

➡️ Un terrain inflammatoire généralisé :
Les femmes atteintes d’endométriose présentent souvent un niveau d’inflammation chronique élevé, ce qui peut perturber la barrière cutanée et favoriser l’apparition de boutons.

➡️ Un déséquilibre hormonal sous-jacent :
L’endométriose implique souvent des fluctuations de progestérone, d’œstrogènes et parfois de testostérone. Or, ces hormones influencent directement la production de sébum et l’inflammation de la peau.

➡️ L’impact du stress et de la douleur chronique :
La douleur répétée, la fatigue et les troubles du sommeil augmentent le cortisol (hormone du stress), qui lui aussi dérègle la peau.

➡️ Des traitements hormonaux aggravants ?
Certaines pilules ou traitements prescrits pour soulager l’endométriose peuvent perturber davantage la peau, en fonction du dosage hormonal.

Comment apaiser son acné quand on souffre d’endométriose ?

1. Adopter une routine minimaliste et anti-inflammatoire
Inutile d'agresser une peau déjà réactive. Opte pour une routine courte, douce, avec des actifs purifiants mais non irritants.

2. Choisir des soins compatibles avec les cycles hormonaux
La peau change au fil du mois. Il faut l’accompagner, pas la contrarier.
Une crème comme Calméa peut t’aider à rééquilibrer ta peau cyclique tout en respectant sa sensibilité.

3. Limiter les perturbateurs hormonaux
Choisis des soins sans perturbateurs endocriniens, sans parfum synthétique, sans huiles minérales. Privilégie le bio, le vegan, le non-comédogène.

4. Travailler aussi l’intérieur
Parle-en à ton médecin : alimentation anti-inflammatoire, gestion du stress, complémentation (zinc, oméga-3…) peuvent aussi aider ta peau.

Le bon réflexe à avoir dès maintenant

Tu n’as pas à choisir entre soulager ton endométriose ou prendre soin de ta peau.
Les deux sont possibles. Et surtout, les deux sont légitimes.

💡 Calméa a été pensée pour les peaux cycliques, inflammées, fatiguées par les déséquilibres hormonaux.
Elle agit en douceur, sans agression, pour purifier, apaiser et redonner confiance.

Parce qu’on mérite une peau en paix, même quand le corps hurle.

Si tu vis avec l’endométriose et que ta peau souffre aussi… tu n’es pas seule.
Découvre une routine pensée pour toi, sans compromis.

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